Me revoilà sur la route. Encore, direz-vous. Jamais assez, je répondrai.
Je fais donc mon petit bonhomme de chemin, à l'heure qu'il est, vers la Turquie. Fou? Bah!
J'avais décidé de ne pas voyager en ce début d'été. Puis je me suis ravisé. Ai hésité entre la Suisse, la Croatie, la Turquie et le Royaume-Uni. En lançant un appel à tous, je me suis déniché un compagnon de voyage prêt à s'embarquer pour la Turquie. Décision arrêtée.
Mais voilà, les conditions se sont détériorées. Les manifestations se sont multipliées au pays d'Erdogan. Partir ou pas?
Il y a bien sûr l'argument financier. Le billet, déjà acheté, ne sera remboursé que pour des raisons de santé ou un danger évident. Et cette impression que les risques, toujours un peu présents en Turquie, on doit se l'avouer, sont probablement concentrés près des places publiques. Il serait étonnant que les manifestants envahissent les mosquées et les autres lieux hautement touristiques.
Alors je pars. Je verrai bien. Mon instinct sera mon principal allié. Et rien n'empêche de modifier les plans si le coeur m'en dit. Mais pour l'instant, après avoir consulté les avertissements de sécurité du voyage.gc.ca, je ne m'inquiète pas.
Place à de nouvelles aventures...
Carnets d'un bourlingueur, passionné de voyage, qui s'est entre autres offert un tour du monde en 2012.
Je poursuis maintenant mes aventures à temps partiel. Récits, photos et astuces pour plus de 70 pays et territoires.
15 juin 2013
2 juin 2013
Les auberges d'Amsterdam
Avec la chanson de Brel en boucle dans la tête, je me suis mis à la recherche d'une auberge de jeunesse à Amsterdam. Au cas. Parce que je voyage généralement dans la basse saison. Contrairement à cette année. Et qu'une ville qui appelle au vice comme la capitale des Pays-Bas, en juin, ça me dit que ce sera achalandé.
Constat : quand les auberges de jeunesse se remplissent sans effort aucun, pas besoin d'offrir un service extraordinaire. Mine de rien, les pointages des établissements d'hébergement, sur hostelworld, n'ont rien de bien impressionnant. La propreté, la gentillesse du personnel, apparemment, laissent à désirer.
Je m'informe donc auprès d'amis hollandais. On confirme : les auberges à Amsterdam, c'est une jungle.
Une jungle parce qu'on risque de tomber sur des cochambreurs qui fument, boivent, et n'aspirent pas à dormir. Avec le Red Light à un jet de pierre, faut dire... De là l'intérêt de trouver un endroit avec une politique anti-tabac, anti-alcool...
Inscription à :
Articles (Atom)