28 avril 2019

Jour 2 : Pucón et l'eau chaude



Deuxième jour au Chili.

Je suis arrivé tôt en matinée à Pucón, à neuf heures de bus au sud de Santiago. En matinée, l'air y était frais et sentait un peu la fumée des poêles à bois. À part quelques chiens qui aboyaient à mon passage, l'endroit semblait encore endormi. À l'horizon, le volcan Villarica, fumant, se découpait très clairement.

Pucón est une petite ville bâtie en partie autour du tourisme. Les petites maisons de bois proposent souvent de louer des chambres aux visiteurs qui viennent pour les sports d'hiver ou les activités extrêmes.

Mon auberge, Chili Backpacker, semble la plus prisée des jeunes voyageurs. Par jeunes, on entend en moyenne entre 25 et 40 ans, soit plus vieux que la moyenne des autres auberges du genre. Il y est facile de réserver des activités et la vue sur le lac Villarica n'est pas à négliger non plus.

22 avril 2019

L'arrivée à Santiago, au Chili

Le parlement de Santiago

Nouvelle incursion sur la continent sud-américain. Cette fois, c'est au Chili que ça se passe.

Mes deux vols, gracieuseté de Copa Airlines, ont été retardés. Le premier, dans un avion des années 1980, n'avait pour divertissement à bord que cet écran qui se déploie du plafond avec un film de série B du siècle dernier. La deuxième partie du voyage, moins achalandée, était beaucoup plus confortable. Il ne faut toutefois pas compter sur des repas succulents sur les ailes de Copa...

Je suis donc arrivé à Santiago, la capitale du Chili, qu'on dit plutôt ennuyante. Puisque c'est l'automne ici, il faut savoir comment s'habiller. La matinée, grise et froide, transperçait mes trois couches de vêtements. En après-midi, sous le soleil, on atteignait les 20 degrés Celsius.