On dit qu'il faut parfois combattre le feu par le feu.
C'est-à-dire?
C'est-à-dire qu'après les blues du retour, après un long périple, il est parfois opportun de ne pas se poser de questions. Et de saisir les occasions qui se présentent.
Ainsi l'Afrique du Sud s'est-elle invitée dans le portrait. Pas sur l'écran radar au départ : un peu loin, un peu dispendieux, pas tellement envisageable de prendre des vacances... encore.
Quoique... La proposition est venue d'un ami autrichien qui s'achetait un billet pour Le Cap. Les étoiles se sont alignées. Au diable les doutes et les dépenses. Après tout, l'argent, c'est fait pour être dépensé.
Vrai qu'on nous raconte que l'Afrique du Sud peut être un pays dangereux. J'ai validé avec d'autres voyageurs. Rien d'inquiétant à première vue. Pas de doute en ce qui me concerne.
Pas besoin de visa pour débarquer dans la contrée d'Oscar Pistorius. Du moins, pas quand on est simple touriste. Suffit seulement de trouver un billet d'avion qui nous mènera à destination dans un temps record. De l'Amérique du Nord, on compte au moins une escale... parfois trois. Dans mon cas, la meilleure option semblait de m'arrêter à Amsterdam avant de repartir pour une douzaine d'heures vers Le Cap. En surveillant la fluctuation des prix, avec un peu de chance, on trouvera des billets sous les 1500 $.
C'est-à-dire?
C'est-à-dire qu'après les blues du retour, après un long périple, il est parfois opportun de ne pas se poser de questions. Et de saisir les occasions qui se présentent.
Ainsi l'Afrique du Sud s'est-elle invitée dans le portrait. Pas sur l'écran radar au départ : un peu loin, un peu dispendieux, pas tellement envisageable de prendre des vacances... encore.
Quoique... La proposition est venue d'un ami autrichien qui s'achetait un billet pour Le Cap. Les étoiles se sont alignées. Au diable les doutes et les dépenses. Après tout, l'argent, c'est fait pour être dépensé.
Vrai qu'on nous raconte que l'Afrique du Sud peut être un pays dangereux. J'ai validé avec d'autres voyageurs. Rien d'inquiétant à première vue. Pas de doute en ce qui me concerne.
Pas besoin de visa pour débarquer dans la contrée d'Oscar Pistorius. Du moins, pas quand on est simple touriste. Suffit seulement de trouver un billet d'avion qui nous mènera à destination dans un temps record. De l'Amérique du Nord, on compte au moins une escale... parfois trois. Dans mon cas, la meilleure option semblait de m'arrêter à Amsterdam avant de repartir pour une douzaine d'heures vers Le Cap. En surveillant la fluctuation des prix, avec un peu de chance, on trouvera des billets sous les 1500 $.