On ne revient jamais totalement d'une longue expédition. Ou peut-être que si. Pour certains. Mais cette nostalgie lancinante, aussi faiblarde soit-elle, ne s'éteint pas.
Il y a ceux qui, inévitablement, poursuivent leur périple quand il nous faut rentrer. Comme cette fille rencontrée quatre jours avant la fin de ma propre aventure. Elle en était à sa première semaine de six mois d'exploration.
Il y a ces autres qui nous regardent les yeux ronds quand on leur dit qu'on n'est pas rentrés à la maison depuis des mois. Ils jalousent mais se croient incapables de faire pareil. Ou font face à trop d'obstacles.
Puis, ils vous écrivent pour vous demander comment vous avez fait. Réécrivent pour dire qu'ils planifient leur propre tour du monde. Et, comme mon ami Ben, rencontré au Japon, ils lancent leur propre blogue pour tenir famille et amis au courant.
Il y a ceux qui, inévitablement, poursuivent leur périple quand il nous faut rentrer. Comme cette fille rencontrée quatre jours avant la fin de ma propre aventure. Elle en était à sa première semaine de six mois d'exploration.
Il y a ces autres qui nous regardent les yeux ronds quand on leur dit qu'on n'est pas rentrés à la maison depuis des mois. Ils jalousent mais se croient incapables de faire pareil. Ou font face à trop d'obstacles.
Puis, ils vous écrivent pour vous demander comment vous avez fait. Réécrivent pour dire qu'ils planifient leur propre tour du monde. Et, comme mon ami Ben, rencontré au Japon, ils lancent leur propre blogue pour tenir famille et amis au courant.