Avec la chanson de Brel en boucle dans la tête, je me suis mis à la recherche d'une auberge de jeunesse à Amsterdam. Au cas. Parce que je voyage généralement dans la basse saison. Contrairement à cette année. Et qu'une ville qui appelle au vice comme la capitale des Pays-Bas, en juin, ça me dit que ce sera achalandé.
Constat : quand les auberges de jeunesse se remplissent sans effort aucun, pas besoin d'offrir un service extraordinaire. Mine de rien, les pointages des établissements d'hébergement, sur hostelworld, n'ont rien de bien impressionnant. La propreté, la gentillesse du personnel, apparemment, laissent à désirer.
Je m'informe donc auprès d'amis hollandais. On confirme : les auberges à Amsterdam, c'est une jungle.
Une jungle parce qu'on risque de tomber sur des cochambreurs qui fument, boivent, et n'aspirent pas à dormir. Avec le Red Light à un jet de pierre, faut dire... De là l'intérêt de trouver un endroit avec une politique anti-tabac, anti-alcool...
Une jungle parce qu'à lire les commentaires des précédents clients, on comprend que ça coûtera cher et que le service sera moyen. Quand, dans la description de ton auberge, il est mentionné que les douches fonctionnent mal... et que tu ne te donnes pas la peine des les réparer, c'est forcément parce que les clients affluent quoi qu'il arrive.
Autre irritant : à moins de s'exiler à une trentaine de minutes de la ville, il faut compter le double du prix pour avoir un lit le samedi. Ouais! Quand tu ne trouves rien sous les 60 $, pour un dortoir...
N'empêche, j'ai réservé pour assurer mes arrières. Avec une assurance annulation. Si jamais je me trouvais des copains pour partager une chambre d'hôtel, ce serait peut-être moins cher...
Ceci dit, je ne me gênerai pas pour commenter une fois que j'aurai expérimenté. Restez branchés.
La Nouvelle
Dans un autre ordre d'idées, je tiens maintenant la chronique Le Bourlingueur dans l'hebdomadaire La Nouvelle. Il sera possible de m'y lire une fois par semaine.
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