Voilà! C'est fait! Je suis immunisé contre la plupart des méchantes maladies qui pourraient m'attaquer dans les coins les plus reculés du globe.
La Clinique du voyageur, c'est vraiment une excellente idée. Avec la liste des pays visités, ils vérifient toutes les maladies à risque. Le futur touriste, en l'occurence moi, peut ensuite choisir s'il prend ou non les vaccins recommandés. Il faut dire que certains coûtent très cher.
Du même coup, l'infirmière m'a remis une panoplie de brochures sur les activités de prévention et autres comportements de prudence à adopter, point de vue santé. Diphtérie, tétanos, coqueluche, hépatite A, typhoïde (Asie et Amérique du Sud), fièvre jaune (Amérique du Sud), etc. ont tous pu être combinés en trois petits vaccins.
Très dispendieux, le vaccin contre la rage peut toutefois prévenir contre des transfusions sanguines suspectes dans des pays moins développés. Il se donne en trois injections réparties sur 28 jours.
Une fois les vaccins administrés, on m'a fait rencontrer le médecin, qui m'a remis des fiches pour chacun des pays à visiter. Elles détaillent les risques de malaria, par exemple. Le médecin remplit aussi une longue liste d'ordonnances, qui permet notamment de renouveler les médicaments qu'on prend déjà.
Elle comprend aussi de l'Imodium, du Cipro et du Zithromac contre les diarrhées du voyageur, du Malarone en prévention contre la malaria et du gastrolyte. On recommande aussi d'apporter du Benadryl pour contrer des réactions allergiques et de la pristine, une poudre pour traiter l'eau et la rendre potable. Sans compter l'anti-moustique de type Off!, les Gravols, la crème solaire et le Polysporin.
Astuce
À titre préventif, il est possible d'apporter des seringues inutilisées. Dans le cas où il serait nécessaire de vous faire une injection, vous pourriez exiger qu'on utilise vos seringues propres et stérilisées. Il est toutefois préférable d'obtenir une lettre d'un médecin qui confirme que vous êtes autorisé à transporter des seringues.
La Clinique du voyageur, c'est vraiment une excellente idée. Avec la liste des pays visités, ils vérifient toutes les maladies à risque. Le futur touriste, en l'occurence moi, peut ensuite choisir s'il prend ou non les vaccins recommandés. Il faut dire que certains coûtent très cher.
Du même coup, l'infirmière m'a remis une panoplie de brochures sur les activités de prévention et autres comportements de prudence à adopter, point de vue santé. Diphtérie, tétanos, coqueluche, hépatite A, typhoïde (Asie et Amérique du Sud), fièvre jaune (Amérique du Sud), etc. ont tous pu être combinés en trois petits vaccins.
Très dispendieux, le vaccin contre la rage peut toutefois prévenir contre des transfusions sanguines suspectes dans des pays moins développés. Il se donne en trois injections réparties sur 28 jours.
Une fois les vaccins administrés, on m'a fait rencontrer le médecin, qui m'a remis des fiches pour chacun des pays à visiter. Elles détaillent les risques de malaria, par exemple. Le médecin remplit aussi une longue liste d'ordonnances, qui permet notamment de renouveler les médicaments qu'on prend déjà.
Elle comprend aussi de l'Imodium, du Cipro et du Zithromac contre les diarrhées du voyageur, du Malarone en prévention contre la malaria et du gastrolyte. On recommande aussi d'apporter du Benadryl pour contrer des réactions allergiques et de la pristine, une poudre pour traiter l'eau et la rendre potable. Sans compter l'anti-moustique de type Off!, les Gravols, la crème solaire et le Polysporin.
Astuce
À titre préventif, il est possible d'apporter des seringues inutilisées. Dans le cas où il serait nécessaire de vous faire une injection, vous pourriez exiger qu'on utilise vos seringues propres et stérilisées. Il est toutefois préférable d'obtenir une lettre d'un médecin qui confirme que vous êtes autorisé à transporter des seringues.
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