Quoi de mieux qu'une bonne dose de résilience pour lancer le sprint des préparatifs? Pas le choix, quand l'horloge fait tic-tic, il faut avancer. Et accepter que tout ne se passera pas comme prévu. Tout un entraînement.
Première chose à régler : le passeport. C'est bien beau de me dire qu'en épississant la liasse remise à l'agent de passeport, j'aurais pu obtenir mon document de voyage la veille du départ. Mais aussi bien ne pas se mettre dans l'eau chaude tout de suite. Les occasions d'être à la dernière minute m'attendent quelque part dans le détour.
En mettant la main sur mon plus récent passeport, tout semblait pourtant s'enligner sur la voie de la facilité. Valide jusqu'en 2015. Plusieurs pages vides. Nenni. Quand on s'attarde aux exigences pour la livraison de visas, on réalise qu'il faut souvent une ou deux pages vides pour obtenir le droit de visiter certains pays.
À la calculatrice, vite! Pour constater que, mettons (et juste mettons là), si TOUS les douaniers font preuve de bon sens et qu'ils tamponnent chaque espace vide avec précaution, ça pourra aller. Probablement. Mais bon, il y en a toujours un qui choisit le milieu d'une page vide pour estampiller son machin.
Faque! Pas le choix, un aller-retour vers Montréal, pour simplifier les choses. Le formulaire bien rempli, les photos moches bien en poche, et le "vieux" passeport... Le "vieux" passeport! Il est où d'abord? Disparu! Sueurs froides. Flash (McQueen)! Égaré momentanément sur un trottoir du centre-ville de Montréal. Part bien! Tant que ça ne se reproduit pas au centre-ville de Tokyo...
Du coup, pourquoi ne pas demander le passeport de 48 pages, plus volumineux certes, mais qui m'évitera de devoir renouveler le document du fin fond de la Jordanie ou du Cambodge? Et dans lequel il restera de l'espace pour soigner mon blues du retour... Scepticisme chez l'agente de passeport, mais il semble que tout soit en règle. Reste à attendre.
À ajouter à ma page "Avant de partir" : choisir entre 24 et 48 pages pour le passeport.
Prochaine étape : la vaccination. Seulement, pas moyen de prendre un rendez-vous, entre la boîte vocale du médecin, qui renvoie au site internet, et le fameux formulaire de demande de rendez-vous, qui semble avoir disparu de la toile. Tic, tac! Tic, tac!
Première chose à régler : le passeport. C'est bien beau de me dire qu'en épississant la liasse remise à l'agent de passeport, j'aurais pu obtenir mon document de voyage la veille du départ. Mais aussi bien ne pas se mettre dans l'eau chaude tout de suite. Les occasions d'être à la dernière minute m'attendent quelque part dans le détour.
En mettant la main sur mon plus récent passeport, tout semblait pourtant s'enligner sur la voie de la facilité. Valide jusqu'en 2015. Plusieurs pages vides. Nenni. Quand on s'attarde aux exigences pour la livraison de visas, on réalise qu'il faut souvent une ou deux pages vides pour obtenir le droit de visiter certains pays.
«Pourquoi ne pas demander le passeport de 48 pages?»
À la calculatrice, vite! Pour constater que, mettons (et juste mettons là), si TOUS les douaniers font preuve de bon sens et qu'ils tamponnent chaque espace vide avec précaution, ça pourra aller. Probablement. Mais bon, il y en a toujours un qui choisit le milieu d'une page vide pour estampiller son machin.
Faque! Pas le choix, un aller-retour vers Montréal, pour simplifier les choses. Le formulaire bien rempli, les photos moches bien en poche, et le "vieux" passeport... Le "vieux" passeport! Il est où d'abord? Disparu! Sueurs froides. Flash (McQueen)! Égaré momentanément sur un trottoir du centre-ville de Montréal. Part bien! Tant que ça ne se reproduit pas au centre-ville de Tokyo...
Du coup, pourquoi ne pas demander le passeport de 48 pages, plus volumineux certes, mais qui m'évitera de devoir renouveler le document du fin fond de la Jordanie ou du Cambodge? Et dans lequel il restera de l'espace pour soigner mon blues du retour... Scepticisme chez l'agente de passeport, mais il semble que tout soit en règle. Reste à attendre.
À ajouter à ma page "Avant de partir" : choisir entre 24 et 48 pages pour le passeport.
Prochaine étape : la vaccination. Seulement, pas moyen de prendre un rendez-vous, entre la boîte vocale du médecin, qui renvoie au site internet, et le fameux formulaire de demande de rendez-vous, qui semble avoir disparu de la toile. Tic, tac! Tic, tac!
Ben tu fugues ! En pleine tempête à ce que je vois. T'es baveux !
RépondreSupprimerBonne chance,
miro
Je dois te l'avouer, je suis un peu jaloux.
RépondreSupprimerJe voyagerai quand même quelque peu en te suivant sur ce blogue.
Bon vent!
Laurent