C'est bien beau dormir, mais on ne visite pas l'Afrique du Sud tous les jours.
Il nous a fallu nous jeter en bas de nos lits pour amorcer notre seule journée complète au parc national des éléphants d'Addo. C'est que nous avions réservé le safari du matin également, question de nous donner le plus de chances possible de voir toutes les bêtes imaginables. Départ : 6 h. Du matin! Pour moi, c'est un peu comme me lever au milieu de la nuit.
M'enfin! Cette fois, nous étions 24 dans l'immense camion du parc. Dès le premier arrêt, après avoir croisé des zèbres, nous avons pu observer cinq ou six hyènes qui venaient tout juste d'attraper leur petit-déjeuner : une tortue bien fraîche. Voir autant de hyènes, paraît-il, relève de l'exploit dans le parc. Cochons la bucket list.
Pour le reste, il s'agissait d'une interminable randonnée où nous n'avons au final croisé que très peu d'animaux. Encore quelques buffles, des kudus... et encore des kudus.
De retour au camp, nous avons englouti notre propre petit-déjeuner avant de nous arrêter au dépanneur-épicerie pour faire les emplettes. Il s'agit du seul point de vente dans le parc. Par chance, on y trouve de tout pour cuisiner un repas. Nous avons acheté des nouilles, des légumes congelés, de la viande congelée, quelques épices, et de quoi nous désaltérer. Le nécessaire pour un lunch rapide aussi. Les machins congelés, c'est une excellente idée. Parce qu'à 40 degrés Celsius dans la journée, pour des touristes pas trop équipés en matière de glacière, ça vous avarie une viande rapido-presto.
Nous nous sommes ensuite lancés dans le parc à bord de notre Ferrari. Tel que recommandé, nous conduisions de trou d'eau en trou d'eau. Jusqu'à ce que... Sur l'heure du midi, le soleil à son plus fort, les éléphants, phacochères, zèbres et chacal vont tous se rafraîchir. Nous avons passé de longues minutes à observer un troupeau d'éléphants, bien positionné pour protéger ses petits encore chancelants, occuper tout l'espace.Tour à tour, ils changeaient de place pour accéder au bassin. Fabuleux!
Après, nous nous sommes arrêtés dans l'aire de pique-nique du parc, protégée par des barbelés (il y a quand même neuf lions en liberté), pour casser la croûte. Ici, des oiseaux étranges un peu partout et des singes un peu trop habitués à la présence des humains. Téméraires, ils se lancent vers la table de pique-nique en espérant grappiller des morceaux de nourriture. Moi pas faire confiance à singes. Moi avoir englouti assez vite.
En après-midi, nous avons surtout admiré la nature, les animaux restant à l'abri du soleil plombant.
En fin d'après-midi, nous avons retraité au camp de Spekboom, où nous avions loué un tente un peu rustique, avec tout de même deux lits, une lampe, le nécessaire à barbecue, de même qu'une cuisine (incluant réfrigérateur) et un bloc sanitaire commun. Le camp est situé au centre du parc et est entouré de murs et de barbelés. Sur un côté, nous avions une vue sur un trou d'eau où nous espérions voir des animaux.
Outre le calme relatif, la noirceur presque totale, c'est le ciel étoilé, sans trop de pollution lumineuse, qui demeurait le clou du spectacle. Worth! Every! Penny!
Il nous a fallu nous jeter en bas de nos lits pour amorcer notre seule journée complète au parc national des éléphants d'Addo. C'est que nous avions réservé le safari du matin également, question de nous donner le plus de chances possible de voir toutes les bêtes imaginables. Départ : 6 h. Du matin! Pour moi, c'est un peu comme me lever au milieu de la nuit.
M'enfin! Cette fois, nous étions 24 dans l'immense camion du parc. Dès le premier arrêt, après avoir croisé des zèbres, nous avons pu observer cinq ou six hyènes qui venaient tout juste d'attraper leur petit-déjeuner : une tortue bien fraîche. Voir autant de hyènes, paraît-il, relève de l'exploit dans le parc. Cochons la bucket list.
Pour le reste, il s'agissait d'une interminable randonnée où nous n'avons au final croisé que très peu d'animaux. Encore quelques buffles, des kudus... et encore des kudus.
De retour au camp, nous avons englouti notre propre petit-déjeuner avant de nous arrêter au dépanneur-épicerie pour faire les emplettes. Il s'agit du seul point de vente dans le parc. Par chance, on y trouve de tout pour cuisiner un repas. Nous avons acheté des nouilles, des légumes congelés, de la viande congelée, quelques épices, et de quoi nous désaltérer. Le nécessaire pour un lunch rapide aussi. Les machins congelés, c'est une excellente idée. Parce qu'à 40 degrés Celsius dans la journée, pour des touristes pas trop équipés en matière de glacière, ça vous avarie une viande rapido-presto.
Nous nous sommes ensuite lancés dans le parc à bord de notre Ferrari. Tel que recommandé, nous conduisions de trou d'eau en trou d'eau. Jusqu'à ce que... Sur l'heure du midi, le soleil à son plus fort, les éléphants, phacochères, zèbres et chacal vont tous se rafraîchir. Nous avons passé de longues minutes à observer un troupeau d'éléphants, bien positionné pour protéger ses petits encore chancelants, occuper tout l'espace.Tour à tour, ils changeaient de place pour accéder au bassin. Fabuleux!
Après, nous nous sommes arrêtés dans l'aire de pique-nique du parc, protégée par des barbelés (il y a quand même neuf lions en liberté), pour casser la croûte. Ici, des oiseaux étranges un peu partout et des singes un peu trop habitués à la présence des humains. Téméraires, ils se lancent vers la table de pique-nique en espérant grappiller des morceaux de nourriture. Moi pas faire confiance à singes. Moi avoir englouti assez vite.
En après-midi, nous avons surtout admiré la nature, les animaux restant à l'abri du soleil plombant.
En fin d'après-midi, nous avons retraité au camp de Spekboom, où nous avions loué un tente un peu rustique, avec tout de même deux lits, une lampe, le nécessaire à barbecue, de même qu'une cuisine (incluant réfrigérateur) et un bloc sanitaire commun. Le camp est situé au centre du parc et est entouré de murs et de barbelés. Sur un côté, nous avions une vue sur un trou d'eau où nous espérions voir des animaux.
Outre le calme relatif, la noirceur presque totale, c'est le ciel étoilé, sans trop de pollution lumineuse, qui demeurait le clou du spectacle. Worth! Every! Penny!
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