À journée longue, titre de billet long...
J'en étais donc à ma dernière journée en Inde et la cadran m'a tiré du lit à 6 h du matin, avec tout juste une heure de sommeil derrière les paupières.
Il faisait encore sombre quand j'ai pris la route de la gare, où mon billet devait m'attendre, selon mon agence de Delhi. Là, on m'a informé qu'il était impossible de réserver un billet. Qu'on l'achetait sur place avant de partir, point. J'ai donc pris la chance de me procurer un billet avant de m'installer sur le quai pour attendre.
Sans indication aucune, il apparaît parfois difficile de comprendre où on va. C'est quand un premier train s'est immobilisé que j'ai découvert que j'attendais du mauvais côté des rails. Sans une mince connaissance de la géographie de la région, j'aurais probablement pu me tromper. Mais visiblement, ce train s'en allait d'où je venais.
J'ai finalement pris la direction de Trivandrum, très au sud, en cognant des clous dans le train. Par chance, c'était le dernier arrêt du trajet et j'ai pu suivre la foule qui abandonnait tous les wagons.
À la gare, rien de mieux que les taxis prépayés pour économiser. On paie un roupie pour qu'on nous donne un coupon. Sur le coupon, la valeur du montant qu'on devra remettre au chauffeur pour atteindre notre destination. Mon aller simple pour l'aéroport coûterait 77 roupies. Une aubaine si je compare à tous les prix payés pour des tuks-tuks pendant le voyage.
J'en étais donc à ma dernière journée en Inde et la cadran m'a tiré du lit à 6 h du matin, avec tout juste une heure de sommeil derrière les paupières.
Il faisait encore sombre quand j'ai pris la route de la gare, où mon billet devait m'attendre, selon mon agence de Delhi. Là, on m'a informé qu'il était impossible de réserver un billet. Qu'on l'achetait sur place avant de partir, point. J'ai donc pris la chance de me procurer un billet avant de m'installer sur le quai pour attendre.
Sans indication aucune, il apparaît parfois difficile de comprendre où on va. C'est quand un premier train s'est immobilisé que j'ai découvert que j'attendais du mauvais côté des rails. Sans une mince connaissance de la géographie de la région, j'aurais probablement pu me tromper. Mais visiblement, ce train s'en allait d'où je venais.
J'ai finalement pris la direction de Trivandrum, très au sud, en cognant des clous dans le train. Par chance, c'était le dernier arrêt du trajet et j'ai pu suivre la foule qui abandonnait tous les wagons.
À la gare, rien de mieux que les taxis prépayés pour économiser. On paie un roupie pour qu'on nous donne un coupon. Sur le coupon, la valeur du montant qu'on devra remettre au chauffeur pour atteindre notre destination. Mon aller simple pour l'aéroport coûterait 77 roupies. Une aubaine si je compare à tous les prix payés pour des tuks-tuks pendant le voyage.