27 août 2014

Une sortie au tennis


Roger Federer
C'est semaine du US Open.Tennis everywhere. Un des tournois les plus prestigieux de la saison. Ce qui me permet d'aborder une forme de tourisme dont j'ai très peu parlé.

Quand l'envie de prendre le large nous taraude mais que le temps, ou le courage, nous manque pour aller embrasser les baobabs du Sénégal, il est possible de voyager pas trop loin et de voir quelque chose de nouveau en assistant à un événement sportif.

À moins d'habiter une grande ville comme Montréal ou New York, assister à un match de n'importe quel sport professionnel est un événement.

Donc après avoir regardé les Wimbledon, Roland-Garros et autres sur petit écran, je me suis finalement décidé à me présenter dans un stade pour voir les joueurs de tennis en chair et en os. Montréal aurait été beaucoup plus proche. Sans compter qu'Eugénie Bouchard y était une des favorites.

19 août 2014

Les roses de Sarajevo, le tunnel et Srebrenica




Jour deux de l'exploration de Sarajevo. Toujours pas de plan. J'essaie néanmoins de profiter d'un tour gratuit, ce genre de tour pour lequel il n'y a pour seule obligation que de donner un pourboire si le service a été apprécié. Point de rendez-vous : devant la cathédrale.

Pendant ce type, un autre gars de mon auberge espère obtenir le même genre de tour avec une compagnie émergente dont il a entendu parler. On promet de s'offrir des comptes rendus une fois la journée terminée.

Pas bol. Geoff (l'autre voyageur) revient sur ses pas. Le bureau de l'agence est fermé. Il se joindra donc à moi. Pas plus de bol. Les tours gratuits sont annulés depuis quelques semaines déjà.

17 août 2014

Le simulateur de chute libre



On va se le dire d'emblée : ce n'est pas parce qu'on voyage qu'on sait nécessairement ce qui se trouve dans notre cour arrière. Des fois, ça vaut la peine de sortir de chez soi.

Un peu partout dans le monde, il y a, comme à Laval, un simulateur de chute libre. Moins cher qu'un vrai saut en parachute, le simulateur permet aux amateurs d'aventure modérée trop peureux pour se lancer d'un avion en plein vol (comme moi, mettons!) d'établir un premier contact cet univers particulier.

Pour l'initiation, nous avons eu droit à deux vols de 60 secondes. Pas assez? Vrai que dans la vie de tous les jours, deux minutes, c'est à peine le temps qu'il faut pour ouvrir son application Facebook sur un téléphone cellulaire et pour « aimer » trois ou quatre photos. Mais dans un tube de soufflerie verticale où on tente de maîtriser les rudiments du vol en chute libre, c'est bien suffisant.