Pont de la Confédération |
En plein été, on peut déléguer la tâche de parcourir les kilomètres à la compagnie Autobus des Sillons pendant qu'on se laisse mener. Mais en mai, il fallait absolument se ranger derrière le volant.
Rien à redire sur la route de notre première journée, que
nous avions choisi d'interrompre à Edmunston, au Nouveau-Brunswick, pour nous
reposer. Six heures de déplacements, c'était suffisant.
S'arrêter au Nouveau-Brunswick peut-être une bonne occasion
de découvrir la gastronomie locale. La ploye, cette crêpe de sarrasin cuite sur
un seul côté, est une fierté locale. On la mange avec du beurre ou des cretons,
ou encore dans sa formule dessert, avec de la cassonade. Très peu de
restaurants la servent, mais celui où nous étions, le Franks bar and grill, en
propose deux pour 2,99 $ en entrée.
Pour l'occasion, notre sympathique serveuse, Nathalie Rioux,
nous a proposé de goûter les bières locales des Brasseurs du Petit-Sault. La
Bob Leboeuf, un blonde, la Kedgwick, une lager, la Soeur Catherine, une IPA, ou
la Louis XVII, une rousse, en offrent pour tous les goûts. Ma préférée : la Bob
Leboeuf, même si on dit qu'elle ne fait pas l'unanimité. On l'aime ou on ne
l'aime pas.
À essayer aussi à ce restaurant : la fondue au parmesan. À
noter que les portions sont gargantuesques et qu'il n'est pas vilain de garder
une place pour le dessert. Bonne chance!
Au jour 2, il fallait atteindre Charlottetown pour une
deuxième nuitée. Encore six heures de route, plus ou moins. C'était sans
compter la tempête qui s'abattait sur la mi-mai. Au réveil, un fin tapis blanc
avait déjà couvert une partie d'Edmunston.
La tempête de neige entre Edmunston et Fredericton |
Nous avons rapidement été confrontés aux conditions routières misérables, si bien qu'un long train de voitures s'est formé sur l'autoroute. À 40 km/h, la journée promettait d'être longue. Avec un soleil radieux, nous nous serions peut-être permis quelques arrêts pour apprécier les paysages néo-brunswickois. Mais nous avons finalement avancé jusqu'à Moncton.
Tide & Boar Gastropub |
De là, il ne restait qu'à traverser le pont de la
Confédération pour changer une nouvelle fois de province. À 12,9 km, il est le
plus long pont du monde qui traverse un plan d'eau qui gèle.
Escale (presque) obligatoire : le centre d'information
touristique situé juste avant le pont. Pas tellement pour l'information que
pour le point de vue. Une passerelle de bois mène à une tour d'observation. On
peut aussi se rendre sous le pont en marchant sur la plage.
On s'arrête bien sûr de l'autre côté du pont, également, où
les drapeaux de la province, de la ville et du Canada flottent au-dessus des
grosses lettres PEI formées de petites pierres grises.
Arrivée de l'île-du-Prince-Édouard |
À lire bientôt : Charlottetown, le traversier et l'arrivée aux îles...
*** Pour savoir comment remporter un voyage aux îles de la
Madeleine à l'été 2017, rendez-vous au tripauxiles.com
Ce voyage est rendu possible grâce à la collaboration de
L'Agence de location Hertz des îles et du Parc de Gros-Cap.
Bonjour! Très bonnes informations partagés,intéressantes,éducatives....Je veux aller aux Iles, alors le sujet m'intéressait. Merci
RépondreSupprimerVraiment intéressant. Nous ne avons probablement pas remarqué comment les blogueurs sont devenus très populaires et comme pour les voitures, chaque nouvelle revue de voiture est un événement grandiose! Mais tout d'abord, il convient de noter qu'un long voyage nécessite une préparation, il y a plusieurs options, l'un des points principaux est l'achat de pièces automobiles https://www.piecesautodiscount.fr/. Ils doivent être originaux et ce sont les meilleures pièces qui sont fabriqués par le fabricant, et ils sont presque idéal pour une marque de voitures. Cela signifie que l'aventure ne sera pas gâchée par une rupture étrange et même parfois insolubles.
RépondreSupprimerSur les pièces automobiles offrent une garantie, cependant, je conseille de ne pas faire des économies sur la sécurité, et comme il est nécessaire de compléter la voiture.
Après tout, tout le monde ne peut pas se permettre de retarder.